Le SOPK est l’un des déséquilibres hormonaux les plus courants chez les femmes d’aujourd’hui. Il se caractérise souvent par une résistance à l’insuline ( dans 70 % des cas ). Le système endocrinien est très complexe ; bien que le SOPK soit reconnu et diagnostiqué depuis plus de 75 ans, il reste néanmoins la principale forme de perturbation endocrinienne chez les femmes en âge de procréer. Il y’a encore beaucoup à apprendre sur la façon dont ce déséquilibre hormonal se produit chez différentes femmes et sur la manière la plus efficace de le traiter.

Ce syndrome se développe pour des raisons différentes, et les symptômes peuvent également varier d’une femme à l’autre, bien qu’il soit généralement admis que la résistance à l’insuline joue ” un rôle intrinsèque du syndrome. dans 70 % des cas 

Il n’existe pas de “remède, ou de cure ” pour le syndrome des ovaires polykystiques, même si la question “comment faire disparaitre le syndrome des ovaires polykystiques et une question que l’on nous pose régulièrement. Cependant, de nombreuses femmes trouvent des moyens efficaces pour réduire leurs symptômes sans recourir à des médicaments.


 

Actuellement, Imane Harmonie aide de nombreuses femmes à gérer leurs divers symptômes et à sensibiliser sur le SOPK. 

Évaluer les Symptômes du SOPK et Consulter un Professionnel de Santé

Identifier le SOPK commence par une reconnaissance des symptômes. Les signaux d'alerte incluent des : 
  • Cycles menstruels irréguliers voire absents
  • Cycles irréguliers anovulatoire
  • Une infertilité liée au problème de cycle 
  • Une acné persistante, 
  • Une pilosité excessive 
  • Une prise de poids important associé à des pulsions sucrées importante ( souvent en lien avec une cortisol élevée ou une résistance à l’insuline) 
  • Une chute de cheveux ( alopécie androgénique ) et cheveux qui deviennent de plus en plus faim Stress important associé à de l’anxiété ou des sauts d’humeurs 
  • Une fatigue importante.

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Qui Peut Poser le Diagnostic ?

Le diagnostic du SOPK est souvent posé par un gynécologue spécialiste des troubles hormonaux ou un endocrinologue. Mais peu également être posé par une sage femme ou votre medecin traitant en ce basant sur les différents critères que nous allons voir plus bas.  Ces professionnels examinent les antécédents médicaux et gynécologiques, interrogent sur les symptômes et les cycles menstruels, et peuvent prescrire des traitements pour déclencher les règles chez les femmes n'en ayant plus. Ils effectuent également une série d'examens pour confirmer le diagnostic. ( prise de sang, echographie, IRM pelvien) 

Une sage-femme peut également apporter son expertise dans le suivi et la prise en charge du SOPK, notamment en fournissant un soutien holistique et en aidant à gérer les aspects pratiques de la condition.

Les Critères de Rotterdam : Clés du Diagnostic

Les critères de Rotterdam, élaborés par le Réseau International sur le Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK), sont un ensemble de directives cliniques qui jouent un rôle essentiel dans le diagnostic de cette condition médicale complexe. Ces critères ont été développés pour aider les professionnels de la santé à identifier et à diagnostiquer de manière cohérente le SOPK chez les femmes présentant des symptômes et des caractéristiques spécifiques.

Les critères de Rotterdam définissent trois caractéristiques principales qui peuvent être utilisées pour établir le diagnostic du SOPK. Selon ces critères, le diagnostic de SOPK est posé en présence d'au moins deux des trois critères suivants :

  1. Cycles menstruels irréguliers ou absence d'ovulation lorsque les cycles sont réguliers. 
  2. Présence d'ovaires multifolliculaires à l'échographie ou un taux élevé d'hormone anti-müllérienne (AMH) chez les adultes. Le dosage de l'AMH peut être facultatif en cas de troubles du cycle associés à une hyperandrogénie.
  3. Manifestations cliniques ou biologiques d'hyperandrogénie, telles que hirsutisme, acné ou taux élevé d'androgènes dans le sang ( testostérone élevée, SHBG faible, DHT ou DHEA elevée ) 

Ces critères de Rotterdam sont essentiels car ils permettent une approche standardisée du diagnostic du SOPK, ce qui est crucial étant donné la variabilité des symptômes et des présentations cliniques chez les patientes. Chaque femme souffrant du SOPK a des symptomes différents. Si vous n’avez aucun symptômes n'hésitez pas à consulter notre article de blogSOPK pourtant aucun symptomes” En établissant des critères clairs et spécifiques, les professionnels de  santé peuvent diagnostiquer le SOPK de manière plus cohérente, ce qui permet une prise en charge appropriée et des interventions précoces pour aider à atténuer les symptômes et à prévenir les complications à long terme.

En outre, l'utilisation des critères de Rotterdam facilite également la recherche clinique et épidémiologique sur le SOPK en permettant une comparabilité entre les études menées dans différentes populations et régions du monde. Cela contribue à une meilleure compréhension de la prévalence, des facteurs de risque et des mécanismes sous-jacents de cette condition médicale complexe. En résumé, les critères de Rotterdam sont un outil précieux pour le diagnostic et la gestion du SOPK, contribuant ainsi à l'amélioration des soins et à la recherche dans ce domaine.

 

Examens et Bilans Hormonaux via Prise de sang : Éléments de Confirmation

Pour confirmer le SOPK, divers examens sont nécessaires. Le bilan hormonal comprend le dosage des hormones via une prise de sang complète. La prise de sang étant obligatoire contrairement à l’échographie qui n’est pas obligatoire. Cette dernière confirmera simplement les résultats de la prise de sang.

  • FSH (follicle stimulating hormone) : L'hormone folliculo-stimulante est produite par l'hypophyse et joue un rôle dans le développement des follicules ovariens chez la femme.
  • LH (luteinizing hormone) : L'hormone lutéinisante est également produite par l'hypophyse et est impliquée dans la régulation de l'ovulation et la production d'hormones sexuelles telles que les œstrogènes et la progestérone.
  • 17 Bêta estradiol : C'est une forme d'œstrogène, une hormone sexuelle féminine produite principalement par les ovaires, qui est importante pour le développement et le maintien des caractéristiques sexuelles féminines et la régulation du cycle menstruel.
  • Progestérone : Hormone produite par les ovaires après l'ovulation, essentielle pour le maintien de la grossesse et la régulation du cycle menstruel.
  • AMH (anti-müllerian hormone) : Cette hormone est produite par les cellules de granulosa des follicules ovariens et est utilisée comme marqueur de la réserve ovarienne, c'est-à-dire la quantité d'ovules restants dans les ovaires.
  • Prolactine : Hormone produite par l'hypophyse antérieure qui joue un rôle dans la production de lait maternel et peut également influencer la fonction ovarienne.
  • Testostérone : Hormone sexuelle masculine présente en petites quantités chez les femmes, dont un excès peut contribuer aux symptômes d'hyperandrogénie tels que l'hirsutisme et l'acné. Incluant également la SHBG, DHEA et la DHT( mentionné plus bas)
  • TSH (thyréostimuline hormone) + T3 T4 + ATPO : Ces tests évaluent la fonction thyroïdienne, car les déséquilibres thyroïdiens peuvent affecter le cycle menstruel et contribuer aux symptômes du SOPK.
  • S-DHEA (sulfate de déhydroépiandrostérone) : Un précurseur des hormones sexuelles, y compris la testostérone, produit par les glandes surrénales.
  • Delta-4 androstènedione : Un autre précurseur des hormones sexuelles, également produit par les glandes surrénales.
  • Cortisol : Hormone du stress produite par les glandes surrénales, qui peut influencer la fonction ovarienne et la régulation hormonale.
  • Sex hormone-binding globulin : Une protéine qui se lie aux hormones sexuelles circulantes et influence leur disponibilité dans l'organisme.
  • HOMA (test de résistance à l'insuline) : Un test utilisé pour évaluer la résistance à l'insuline, un facteur souvent associé au SOPK en raison de sa forte prévalence chez les femmes atteintes de cette condition.
  • Vitamine D : Des niveaux déficients de vitamine D ont été associés à des anomalies dans le métabolisme hormonal et à des problèmes de fertilité chez les femmes atteintes de SOPK.

 

Confirmation Visuelle (Échographie Pelvienne & IRM)

L'échographie pelvienne est en effet une étape dans le processus de diagnostic du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Cette procédure non invasive permet de visualiser les structures internes de l'abdomen et du bassin, y compris les ovaires, à l'aide d'ondes sonores à haute fréquence.

Lors de l'échographie pelvienne, le médecin peut observer les ovaires à la recherche de plusieurs caractéristiques . L'une de ces caractéristiques est la présence de multiples petits follicules dans les ovaires. Ces follicules sont des sacs remplis de liquide contenant les ovules en développement. Chez les femmes atteintes de SOPK, ces follicules peuvent s'accumuler en grand nombre, donnant aux ovaires un aspect "polykystique".

La visualisation des ovaires et la détection de ces multiples follicules constituent un critère important pour le diagnostic du SOPK. Cependant, il est essentiel de noter que l'échographie pelvienne seule ne suffit pas toujours à confirmer le diagnostic de SOPK. D'autres critères cliniques et biologiques doivent souvent être pris en compte. SOPK et OPK : Pourquoi ce n'est pas la même chose ?

En complément de l'échographie pelvienne, l'IRM (imagerie par résonance magnétique) peut parfois être utilisée dans le processus de diagnostic du SOPK. L'IRM offre une vue plus détaillée des structures internes de l'abdomen et du bassin, ce qui peut aider à évaluer plus précisément la taille et la forme des ovaires, ainsi que la présence de tissus anormaux ou de masses.

L'IRM peut être particulièrement utile lorsque l'échographie pelvienne est inconclusive ou lorsque des complications potentielles, telles que des kystes ovariens complexes ou des tumeurs, sont suspectées. Elle peut également être utilisée pour évaluer d'autres organes pelviens et abdominaux, offrant ainsi une image plus complète de la santé reproductive de la patiente.

En résumé, bien que l'échographie pelvienne soit souvent la première étape dans le diagnostic du SOPK en raison de sa disponibilité et de sa facilité d'utilisation, l'IRM peut être un outil précieux pour confirmer le diagnostic et évaluer plus précisément les ovaires et autres structures internes en cas de besoin.

Des différents traitements disponibles pour le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), à la fois médicamenteux, chirurgicaux et naturels.

 

Les Solutions Médicamenteuse & Chirurgicaux

Anti-androgènes: Des médicaments tels que la spironolactone ou l'androcur sont utilisés pour réduire les effets des hormones mâles, notamment sur l'acné ou la croissance excessive de poils. 

Metformine: Initialement utilisée pour le diabète de type 2, la metformine peut également être prescrite pour les femmes souffrant de SOPK et de résistance à l'insuline afin de réguler les niveaux d'androgènes et les cycles menstruels.

Duphaston : Duphaston est un médicament qui contient de la dydrogestérone, une hormone progestative. Il est souvent prescrit pour réguler les menstruations irrégulières ou absentes chez les femmes présentant un déséquilibre hormonal, y compris celles atteintes du SOPK. Les effets secondaires : stimulation ovarienne excessive pouvant se traduire par des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une prise de poids. 

Clomid : Le citrate de clomifène, commercialisé sous le nom de Clomid, est un médicament souvent prescrit pour stimuler l'ovulation chez les femmes ayant des problèmes de fertilité, y compris celles atteintes du SOPK. Il agit en stimulant les ovaires pour produire des ovules. Les effets secondaires : Stimulation excessive des ovaires, diminution de la production de glaire cervicale, apparition ou aggravation d'une endométriose, sensibilité des seins, règles plus abondantes, saignement entre les règles.

Ovitrelle : Ovitrelle est le nom commercial de l'hormone chorionique gonadotrophine (hCG), qui est utilisée pour déclencher l'ovulation chez les femmes qui ont reçu un traitement de stimulation ovarienne, tel que le Clomid ou d'autres médicaments de fertilité. Les effets indésirables : stimulation ovarienne excessive pouvant se traduire par des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une prise de poids.

Traitements chirurgicaux: Le drilling ovarien, une procédure consistant en de petites perforations des ovaires, peut être envisagé pour réduire la production d'hormones masculines. La fécondation in vitro (FIV) peut également être recommandée pour les femmes ayant des difficultés à concevoir naturellement.

 Pour en savoir plus sur le sujet nous vous invitons à consulter notre article de blog “ Quels traitements pour le SOPK ? ” 

 

Les Solutions Naturels

Perte de cheveux androgénique :

Saw palmetto : Cette plante peut aider à réduire les niveaux d'androgènes, bénéficiant ainsi de la perte de cheveux liée au SOPK.

Solutions topiques : Les poudres ayurvédiques comme le Brahmi et l'Amla, mélangées à des huiles comme la noix de coco ou l'amande, peuvent nourrir les cheveux et favoriser leur croissance. Le massage quotidien du cuir chevelu peut également améliorer la circulation et réduire la perte de cheveux.

Nos compléments pour la perte de cheveux androgénique :

Cycles menstruels irréguliers : 

Poudre de shatavari : Utilisée en médecine ayurvédique pour réguler les déséquilibres hormonaux et favoriser des cycles menstruels réguliers.

Gattilier (Vitex agnus-castus) : Couramment utilisé pour équilibrer les hormones et réguler les cycles menstruels. Découvrez notre complément Luminaissance 

Acné

Des suppléments comme la glutamine, le zinc et le chardon-Marie peuvent aider à réduire l'inflammation et soutenir la santé du foie, ce qui peut potentiellement améliorer l'acné.

Le curcuma, avec ses propriétés anti-inflammatoires, peut bénéficier à l'acné.

Le soutien de la santé intestinale avec des probiotiques, des prébiotiques et des aliments riches en fibres peut également être bénéfique.  Découvrez notre complément Vénus 

Hirsutisme :

Les suppléments d'inositol peuvent aider à réguler les niveaux d'insuline et à réduire les hormones masculines en excès.

Le thé vert, le zinc, le kudzu et le saw palmetto peuvent également aider à équilibrer les niveaux hormonaux et à réduire les symptômes de l'hirsutisme. Découvrez notre Pack Hirsutisme

Perte de poids :

Des suppléments comme la cannelle, la berbérine, la gymnema sylvestre et le picolinate de chrome peuvent aider à réguler la glycémie et à améliorer la sensibilité à l'insuline, ce qui facilite la gestion du poids.

Les suppléments de glutamine peuvent réduire les envies de sucre et soutenir la santé intestinale. Découvrez notre Pack Reboost 

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Exclure d'Autres Pathologies

Plusieurs symptômes cités plus haut peuvent évoquer le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), mais ils peuvent également être associés à d'autres pathologies. Il est donc important d'envisager plusieurs diagnostics lors de l'évaluation des symptômes. Outre le SOPK, plusieurs autres conditions doivent être exclues. Parmi celles-ci, on trouve l'aménorrhée : 

Syndrome de Cushing : Le syndrome de Cushing est une affection caractérisée par un excès de cortisol dans le corps, généralement causé par une production excessive de cortisol par les glandes surrénales. Cela peut être dû à une tumeur surrénalienne, à une production excessive d'ACTH (hormone qui stimule les surrénales) par l'hypophyse ou à une administration prolongée de corticostéroïdes. Les symptômes incluent une prise de poids, une redistribution de la graisse corporelle (visage rond, cou et tronc), une peau mince et fragile, des vergetures pourpres, une faiblesse musculaire et des problèmes de santé métabolique. 

Hyperprolactinémie : L'hyperprolactinémie est caractérisée par des niveaux élevés de prolactine, une hormone impliquée dans la production de lait maternel chez les femmes et la régulation de la fonction reproductive chez les hommes et les femmes. Elle peut être causée par des tumeurs hypophysaires (adénomes à prolactine), l'utilisation de certains médicaments, le stress, ou d'autres conditions médicales. Les symptômes chez les femmes peuvent inclure l'arrêt des règles, la production de lait en dehors de la période de lactation, et l'infertilité. Chez les hommes, cela peut causer une baisse de la libido, des troubles de l'érection et une production de lait (galactorrhée).

Adénomes hypophysaires à prolactine : Ce sont des tumeurs bénignes de l'hypophyse qui produisent de la prolactine en excès, conduisant à l'hyperprolactinémie mentionnée ci-dessus.

Hyperplasie congénitale des surrénales (HCS) : Il s'agit d'un groupe de troubles héréditaires dans lesquels les glandes surrénales ne produisent pas suffisamment de certaines hormones, en particulier le cortisol et souvent l'aldostérone. Cela peut entraîner une production excessive d'androgènes (hormones masculines) chez les femmes, ce qui peut entraîner des symptômes tels que la virilisation, une croissance excessive de poils et des anomalies génitales chez les nouveau-nés de sexe féminin.

Hypothyroïdie : C'est une condition dans laquelle la glande thyroïde ne produit pas suffisamment d'hormones thyroïdiennes. Cela peut entraîner un ralentissement du métabolisme et provoquer des symptômes tels que la fatigue, la prise de poids, la constipation, la peau sèche, la sensibilité au froid, les troubles menstruels chez les femmes et d'autres problèmes de santé.

Un diagnostic précis est essentiel pour garantir un traitement approprié et une gestion efficace de la condition, quel qu'il soit.

 

Conclusion : 

Comprendre le processus de diagnostic du SOPK est essentiel pour agir efficacement contre cette condition hormonale. Avec une évaluation appropriée des symptômes, une consultation médicale spécialisée, des critères de diagnostic clairs et des examens complets, il est possible de poser un diagnostic précis et de mettre en place une prise en charge adaptée. Une fois diagnostiqué, il est crucial de rechercher un soutien médical et émotionnel pour naviguer à travers les défis associés au SOPK.

 

Sources :

Les critères de Rotterdam, établis par le Réseau International 2024

https://www.qare.fr/sante/irm/irm-pelvienne/

https://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/affichageDoc.php?specid=64866204&typedoc=R#:~:text=Les%20effets%20ind%C3%A9sirables%20les%20plus,et%20tension%2Fdouleur%20des%20seins.

https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/ovitrelle-21887.html#:~:text=stimulation%20ovarienne%20excessive%20pouvant%20se,de%20poids%20(voir%20Attention).

https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/clomid-2027.html#:~:text=Effets%20ind%C3%A9sirables%20possibles%20du%20m%C3%A9dicament,abondantes%2C%20saignement%20entre%20les%20r%C3%A8gles.




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