Pack Cheveux

SOPK : Oui .
Le SOPK est un syndrome métabolique qui peut avoir des conséquences sur la perte de cheveux, Hair'a étant spécifiquement conçu pour les femmes SOPK sera parfait pour cela

Contraception hormonale : Oui
La pilule contraceptive peut entrainer des carences nutritionnelle pour éviter cela et réduire l’effet rebond suite à l’arrêt de la pilule la prise d’Hair'a est très interessante.

Endométriose : Oui.

Pré-ménopause / Ménopause : Oui.

Grossesse : Non.

Déconseillé aux femmes enceintes.

Allaitement : Non

Déconseillé

Essais bébé : Oui,

PMA : Oui,

Médical :


- Déconseillé en cas d’allergie à l’un des composants.
-Informer votre médecin ou pharmacien en cas de prise simultanée de médicaments.
- Déconseillé en cas d’allergie à l’un des composants.
- Déconseillé en cas de grossesse et d’allaitement
- Tenir hors de portée des enfants.
- Déconseillé en cas d'insuffisance rénale.

Nos clientes constatent une nette réduction de la chute de cheveux après environ 2 mois de cure. Mais pour plus d'efficacité nous vous recommandons la prise de Hair'a pendant au moins 4 mois. Si vous souhaitez aller plus loin vous pouvez également associer la prise de ces compléments avec un massage du cuir chevelu et des poudres ayurvédiques pour limiter au maximum la chute.

Luminaissance et Hair'a doivent être pris conjointement et peuvent même être associés à nos autres compléments de la boutique pour plus d'efficacité : Olympia ou Hygée Boost, mais également avec de la Vitamine D, Magnésia, Ino stress, Andromaque, Isis Phase 1 et 2.
Andromaque, associé à Hair'a, permet également d'obtenir des résultats satisfaisants.

Pour l'alopécie androgénétique, un bilan hormonal peut être recommandé, surtout chez les femmes présentant des signes d'hyperandrogénie. Ce bilan doit être réalisé entre le deuxième et le cinquième jour du cycle menstruel, après un mois sans traitement hormonal. Les hormones à doser incluent la testostérone, le sulfate de déhydroépiandrostérone (SDHEA), la 17-hydroxyprogestérone (17OH progestérone), et la delta-4 androstènedione. D'autres examens peuvent inclure le dosage de la TSH systématiquement, ainsi que celui de la ferritine pour exclure une carence en fer.

Chez les femmes non ménopausées présentant une alopécie androgénétique évolutive et des anomalies du cycle menstruel, un bilan hormonal pour rechercher une hyperandrogénie est recommandé. Pour les femmes ménopausées ayant une alopécie androgénétique évolutive ou d'apparition récente, un dosage de la testostérone est préconisé. De plus, des examens complémentaires comme une échographie des ovaires peuvent être indiqués pour rechercher des pathologies sous-jacentes telles que le syndrome des ovaires polykystiques, surtout chez les femmes présentant des signes d'hyperandrogénie (acné, hirsutisme, troubles menstruels).

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) peut entraîner une perte de cheveux chez les femmes en raison d'un excès d'hormones androgènes, telles que la testostérone, ce qui provoque une hyperandrogénie. Cette condition peut conduire à une alopécie androgénétique, caractérisée par un amincissement progressif des cheveux, notamment sur le sommet du crâne et les tempes. La perte de cheveux associée au SOPK peut avoir un impact psychologique significatif, affectant l'estime de soi et l'image corporelle des femmes concernées.

L'alopécie androgénétique, également connue sous le nom de calvitie, est la forme la plus fréquente de perte de cheveux chez les hommes et les femmes. Elle résulte d'une sensibilité accrue des follicules pileux aux androgènes, notamment à la dihydrotestostérone (DHT). Chez les hommes, elle se manifeste par une perte de cheveux progressive aux tempes et à la région frontale, pouvant s'étendre au sommet du crâne, parfois avec l'apparition d'une zone dégarnie à l'arrière. Chez les femmes, elle se caractérise par un amincissement diffus des cheveux sur le dessus du crâne, généralement en préservant la bordure frontale, sans perte totale mais avec des cheveux clairsemés.

La prévalence de cette condition atteint jusqu'à 80 % chez les hommes blancs de plus de 70 ans et près de la moitié des femmes, souvent après la ménopause. Des facteurs tels que le stress, les troubles alimentaires, certains médicaments, et des maladies comme le syndrome des ovaires polykystiques peuvent aggraver la progression de l'alopécie androgénétique.