Pack Zen

Luminaissance : Le matin, au petit-déjeuner avec un liquide froid ou tiède (eau, jus, café, thé)

Ino stress : Le soir, 2 gélules et,
Magnésia : Le soir, 2 gélules.

En quelques jours, l'efficacité de ce pack est perceptible. À la fin de la cure, vous pouvez en débuter une nouvelle ou faire une pause de 1 mois.

En quelques jours, vous aurez un sommeil plus réparateur plus profond et un endormissement plus rapide également.

Le stress a un impact notable sur le cycle menstruel féminin en perturbant l'équilibre hormonal et le fonctionnement de l'axe hypothalamo-hypophyso-ovarien (HPO).
Le stress chronique entraîne une libération excessive de cortisol et d'adrénaline, interférant avec la production des hormones reproductives essentielles comme la gonadotrophine, l'estradiol et la progestérone. Cela peut provoquer des cycles irréguliers, l'aménorrhée (absence de menstruation) et empêcher l'ovulation en perturbant la libération de l'hormone lutéinisante (LH) et de l'hormone folliculo-stimulante (FSH).
De plus, le stress peut aggraver les symptômes du syndrome prémenstruel (SPM), exacerber des conditions comme l'endométriose et les fibromes utérins, et augmenter les douleurs menstruelles (dysménorrhée). En particulier, le stress peut significativement affecter les niveaux de progestérone, une hormone clé produite principalement par le corps jaune après l'ovulation, jouant un rôle crucial dans la préparation de l'utérus pour une possible grossesse. Enfin, le stress peut également diminuer la qualité des ovocytes en perturbant leur maturation et en augmentant le stress oxydatif, ce qui peut réduire les chances de fertilisation et augmenter le risque de complications pendant la grossesse.

Le stress peut avoir un impact significatif sur le poids en influençant à la fois la prise et la perte de poids. Le stress chronique entraîne une libération excessive de cortisol, augmentant l'appétit et favorisant le stockage des graisses, notamment autour de l'abdomen. Il peut également pousser certaines personnes à manger de façon compulsive, souvent des aliments riches en sucre et en graisses, tout en réduisant la motivation à pratiquer des activités physiques.
Chez d'autres, le stress peut diminuer l'appétit, entraînant une perte de poids. En outre, le stress aigu peut temporairement augmenter le métabolisme par la libération d'adrénaline. Enfin, le cortisol élevé associé au stress peut contribuer à la résistance à l'insuline, perturbant le métabolisme et influençant davantage le poids.

Bilan hormonal pour le stress et le SOPK surrénalien

Cortisol : Hormone clé de la réponse au stress, produite par les glandes surrénales. Des niveaux élevés de cortisol sont indicatifs de stress chronique.

ACTH (hormone corticotrope) : Stimule la production de cortisol par les glandes surrénales. Mesurer l'ACTH peut aider à déterminer si le stress ou un dysfonctionnement surrénalien est à l'origine de l'excès de cortisol.

Androgènes surrénaliens (DHEA, DHEA-S, androstènedione) : Ces hormones sont souvent élevées dans le SOPK surrénalien. Leur mesure peut aider à distinguer le SOPK d'autres causes d'hyperandrogénisme.

Testostérone totale et libre : Les niveaux de testostérone peuvent être élevés chez les femmes atteintes de SOPK. Cela inclut la testostérone libre (non liée aux protéines) et la testostérone totale.

17-hydroxyprogestérone (17-OHP) : Utilisée pour dépister l'hyperplasie congénitale des surrénales, qui peut présenter des symptômes similaires au SOPK.

FSH (hormone folliculo-stimulante) et LH (hormone lutéinisante) : Un rapport LH/FSH élevé est souvent observé dans le SOPK. Ces hormones régulent le cycle menstruel et l'ovulation.

Prolactine : Les niveaux de prolactine peuvent augmenter en réponse au stress et peuvent également être élevés dans certaines conditions médicales qui peuvent imiter ou coexister avec le SOPK.

Test HOMA : La résistance à l'insuline est fréquente chez les femmes atteintes de SOPK. Des tests de tolérance au glucose et des niveaux d'insuline peuvent aider à évaluer ce risque.

T3, T4 et TSH (hormones thyroïdiennes) : Des dysfonctionnements thyroïdiens peuvent exacerber les symptômes du SOPK et du stress. Il est important d'évaluer les hormones thyroïdiennes pour exclure une hypothyroïdie ou une hyperthyroïdie.